L'écorce ne suffit pas
Il faut du vent autour
Le vide pour atours
Aux corps écorchées
Les corps ne se touchent pas
La lumière les entoure
Dessine leur pourtours
Pour mieux les protéger
Sous les cimes sous leurs doigts
Les fleurs grandissent au jour
Et leurs bruissements courent
Sur les corps esseulés