L’essence du conscient Emerge du tourbillon
Et les larmes une fois l’an Submergent la fiction.
L’image se consumant Emporte dans son sillon
La substance du vivant Et laisse un corps brouillon,
Inerte dans le néant, Doucement se glacer,
Nu des chimères d’antan, Et mourir et pleurer.
Ses yeux suivent impatients,La pellicule qui s’envole ;
Attendant cruellement qu’elle revienne au sol
pour draper à nouveau ses épaules dénudées
d’une fable, d’un scenario et le réanimer